Un an après la première édition, l'UTAC remet le couvert avec cette journée réservée aux véhicules spartiates.
Même si quelques autos ne répondant pas aux "normes" de cette catégorie se sont glissées au sein des différents plateaux, la grande majorité était bien radicale.
Quand on pense "voiture radicale", on a tout de suite certaines images en tête, et en effet, les Lotus Elise/Exige, Caterham Super 7 et autres Donkervoort D8 sont venues en nombre.
Ces autos ont la philosophie parfaite pour profiter pleinement du circuit 3.405 de Montlhéry, ce dernier étant peu adapté aux GT modernes bien trop puissantes et bien trop lourdes.
Les pilotes les plus téméraires ont donc pu grimper jusqu'à la glissière dans l'unique virage incliné de ce parcours, tout en travaillant leurs changements d'appuis dans les autres sections.
Les participants étaient répartis en trois plateaux, pour éviter de se géner les uns les autres, notemment dans la grande ligne droite des stands.
Si le premier plateau était assez mince et réservé aux anciennes, pour une fois peu nombreuses à Montlhéry, les deux autres étaient bien garnis.
Outre les modèles cités plus haut, nous avons pu croiser une rare Ultima GTR ou encore une Morgan Three-Wheeler déjà présente l'année dernière.
Le distributeur KTM avait lui aussi fait le déplacement, avec deux X-Bow, imageant parfaitement l'idée de ce qu'est une voiture radicale.
Ghislain Balemboy
V12 GT
L'émotion automobile
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