Une année honorable. Ulrich Bez a réussi à éviter une érosion supplémentaire des ventes, en multipliant l’offre.
La Rapide, bien nommée, est arrivée à temps au sein de la gamme, afin de compenser la chute du marché des GT.
Son succès a été immédiat, et s’est traduit par 51 ventes en France, un chiffre équivalent au résultat cumulé des autres V12 de la gamme : 25 exemplaires pour la DB9, vieillissante malgré un très léger restylage, et 30 pour la DBS, encore en forme.
La "petite" V8 4.7, soutenue par les séries limitées N420 coupé et roadster, continue à bien se vendre, avec près de 100 exemplaires, dont 7 V12 Vantage seulement.
Aston Martin a donc écoulé 200 voitures en France en 2010, à comparer au millier d’unités vendu chaque année en Grande Bretagne et aux Etats-Unis, marchés historiques de la marque.
Les ventes mondiales ont été inférieures à 6 000 voitures sur 2011. Celles-ci devraient fortement augmenter en 2012, suite aux premières livraisons de Cygnet, l'Aston "de Ville".
Charles Paxson
V12 GT
L’émotion automobile
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