Obligé d'utiliser des plate-formes FIAT à l'architecture totalement inadaptée car à traction avant, Alfa a éssuyé échec sur échec en haut de gamme depuis les années 80. Cette fois ci, la marque se donnera les moyens de ses ambitions, grâce à Chrysler, qui apporte la structure à propulsion de la 300C, prévue pour recevoir des mécaniques développant jusqu'a 500 ch, qui a fait ses preuves avec la SRT-8.

Heureusement, car Alfa finalise un nouveau moteur V8, d'une cylindrée de 3 litres, qui éxistera en version atmosphérique à admission variable et injection indirecte, d'une puissance de 250 ch. environ, mais qui développera nettement plus de 300 ch. en varainte bi-turbo. De quoi aller chatouiller les berlines germaniques sur les autoroutes allemandes.

Mis a part le V8 de la Montréal, le dernier V8 Alfa Roméo est apparu sur la magnifique 8C, mais il s'agit d'une évolution du moteur Ferrari et non d'une production maison.

Charles Le Menestrel

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