Chantal Perrichon. Ce nom ne vous dit sans doute pas grand-chose… Pourtant cette lobbyiste forcenée tente de faire reculer le gouvernement français sur la question de l’assouplissement du permis à point.
Apôtre de la violence verbale et des partis pris irréfléchis, cette autoproclamée championne de la sécurité routière, dont les compétences en la matière sont sujettes à caution, tient des propos à peine cohérents, mais surtout aptes à faire dresser les cheveux sur la tête de tout amateur de GT.
Jugez plutôt : le site internet de cette justicière en jupons préconise de limiter la vitesse à 70 km/h ou d’abattre les platanes qui bordent les nationales, de mettre en place des « boites noires » dans les véhicules, et parle de « délinquance meurtrière » et de « peine de mort sur la route ». Heureusement que le ridicule ne tue pas…
Une seule solution : sangler énergiquement Chantal, ou tout autre ayatollah « sécuritaire », dans le siège Recaro en carbone de la Porsche GT2 RS rouge que j’ai essayée sur le circuit de l’Eure, et lui faire « goûter» en passager les 620 ch. de son moteur sur une dizaine de tours de piste. De préférence à (très) haute vitesse, de manière à ce que son cerveau malmené subisse un maximum de « G », dans l’espoir que cette thérapie de choc lui remette les idées en place. Vous y croyez ? En tout cas, au delà de l'aspect médical de la chose, j’avoue que j’y prendrais beaucoup de plaisir…
Charles Paxson
V12 GT
L’émotion automobile
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