Audi A6 Allroad Quattro
Par quatre chemins
Loin des Salons internationaux qui se tiennent à l’heure actuelle, Audi livre les informations et les premières images de sa troisième génération d’A6 Allroad. Comme les précédentes moutures, celle-ci ne sera proposée qu’en carrosserie break et se pare de tous les équipements d’une A6 traditionnelle.
Quelques appendices stylistiques et réglages mécaniques permettent toutefois à l’Allroad de s’en distinguer, à commencer par les boucliers et bas de caisse plus enveloppants, de couleur noire; de quoi lui donner de vrais petits airs de baroudeuse. Et pour parfaire cette apparence, l’auto a même droit à un protège carter et à des rails de toit. Les observateurs plus précis auront aussi remarqué la calandre à lamelles chromées verticales.
La nouvelle livrée extérieure «Java Brown» s’assortit, comme les autres teintes d’ailleurs, d’un habitacle personnalisé à coups de tapis de sol exclusifs, de seuils de portes Allroad ou d’inserts en aluminium optionnels. Bien entendu, tous les équipements de sécurité (caméra de recul, régulateur de vitesse intelligent, assistant de vision de nuit,…) et d’infodivertissement (MMI, navigation Google Earth, ensemble audio Bang & Olufsen à 15 haut-parleurs…) sont reconduits.
Une seule motorisation essence est de la partie : le 3.0 TFSI. Ses 310 chevaux et 440Nm sont transmis par le biais de la boîte automatique S-Tronic à sept rapports qui les envoie à la route par les quatre roues grâce à la transmission intégrale Quattro.
La garde au sol, déjà rehausse de 60 millimètres par rapport à une classique A6 Avant peut encore progresser de 35 millimètres à la demande, pour le franchissement de menues difficultés par exemple. Au contraire, à haute vitesse, la suspension pneumatique s’abaisse automatiquement de 15 millimètres pour favoriser l’aérodynamisme et ainsi, réduire la consommation de carburant sur autoroute.
Présentée en Première Mondiale à Genève, la nouvelle Audi A6 Allroad sera commercialisée dans la foulée à un tarif qui n’a pas encore été communiqué.
Nicolas Morlet
V12-GT
L’émotion automobile
A voir également