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Les retouches stylistiques viennent apporter un vent de fraîcheur au style très «lourd» de la grande berline. SI les lignes restent toutefois aux antipodes de la finesse de celles de la dernière Classe S, les amateurs des voitures frappées des quatre anneaux apprécieront certainement les optiques avant redessinées, plus plongeantes, et les blocs arrière affinés. Deux variantes de carrosserie sont toujours proposées : 5,14 mètres pour la normale, 5,27m pour la «L».

A bord, les occupants profitent toujours de ce qui se fait de mieux en matière de confort. Audi ajoute même quelques options au passage, histoire de se remettre au niveau de la concurrence : assistant de bande de circulation actif, wifi embarqué ou système de parking entièrement automatique. Citons également les phares avant adaptatifs à technologie Matrix Led, couplé au MMI et au GPS pour s’adapter au mieux aux conditions de circulation.
Bien entendu, tout cela s’accompagne de nouvelles harmonies intérieures (couleurs et matériaux inédits) et de pas moins de 5 nouvelles teintes de carrosserie.

Toutes les versions de l’A8 sont concernées par ce facelift, y compris la puissante S8 et ses 520 chevaux qui lui permettent d’accrocher les 100km/h départ arrêté en 5,2 secondes. La gamme de motorisations essence compte aussi le V6 3.0 TFSI qui passe de 290 à 310 chevaux, du V8 4.0 TFSI qui gagne 15 chevaux (de 420 à 435ch) et de la somptueuse version douze cylindres W12, toujours calée à 500 chevaux.

Présentées en première mondiale dans les allées du Salon de Francfort mi-septembre, les Audi A8, A8L et S8 devraient arriver en concessions dès le mois de novembre.

Nicolas Morlet

V12-GT

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