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Depuis que Citroën a annoncé son partenariat avec Venturi pour la production des ses voitures électriques (Berlingo du moins, puisque la C-Zero est le fruit de la collaboration PSA-Mitsubishi), il se murmure que les deux groupes français étudieraient conjointement la possibilité d’introduire un bloc électrique sous le capot de la GT by Citroën «de série».

Chose qui serait tout à fait possible et qui ne ternirait pas l’image de l’auto en termes de performances puisque le petit constructeur français détient le record de vitesse d’une «voiture» électrique, avec 487km/h établis sur le Lac Salé, dans l’Utah (USA), en septembre dernier.

Pour renouer avec l’audace qui a fait sa force pendant des décennies, Citroën aurait donc renoncé à y implanter un classique bloc thermique. L’an dernier, les derniers échos rapportaient que, après avoir mis de côté la thèse de l’accouplement de deux V6 pour créer un V12 «maison», Citroën était à la recherche d’un bloc V8 «client». Bloc que l’on disait en provenance des USA, de chez GM plus précisément. Un bloc de Corvette en somme !

Pour rappel, la GT by Citroën avait surpris tout le monde au dernier Mondial de l’Automobile. Délire d’ingénieur qui consistait à donner une existence réelle à une auto virtuelle conçue et développée pour le jeu vidéo Gran Turismo 5, la GT by Citroën allait recevoir un tel accueil auprès du public que très vite, les premiers bruits d’une éventuelle commercialisation ont commencé à circuler. Ceux-ci se sont encore amplifiés lorsque Vincent Besson, chef de produit chez Citroën, laissait entendre que la production d’une toute petite série était bel et bien à l’étude.

Pour ce qui est de la production, les données varient de six exemplaires pour les plus pessimistes, à vingt exemplaires pour les autres, ce qui serait, à les croire, le nombre d’exemplaires nécessaires à la rentabilité d’un tel projet.

Pour le prix de vente en revanche, tous sont d’accord : il devrait dépasser le million d’euros.

Nicolas Morlet

V12-GT

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