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Il faut dire que dans l’aventure, l’Elise troque ses doubles optiques pour adopter des phares au dessin plus simpliste, doté de feux diurnes à LED. Une petite révolution, puisque ces phares conféraient une vraie personnalité à l’auto depuis son apparition, il y a 14 ans déjà.
Ces nouveaux blocs optiques, combinés à un bouclier redessiné à la prise d’air agrandie, rapprochent en fait visuellement l’Elise de sa grande sœur Evora. Un souci d’identité de marque qui a en plus l’avantage d’améliorer le Cx de la petite anglaise de 4%.
La partie arrière est, en revanche, épargnée par les modifications et conserve, elle, ses quatre cercles lumineux.

Sous le capot, les variantes les plus musclées de l’Elise, les R et SC, restent fidèles au bloc 1.8l Toyota dans ses variantes 192 et 220 chevaux. L’Elise S par contre, le troque contre un 1.6l de même provenance. De puissance comparable au 1.8l qu’il remplace (136 chevaux et 180Nm), le nouveau bloc permet surtout à l’auto de réduire son empreinte écologique grâce à une consommation de carburant en baisse de 23%, désormais établie à 6,14l/100km, et des émissions de CO2 en chute de 13%, à 155gr/km.

Côté performances, l’Elise S réclame 6,7 secondes pour réaliser l’exercice du 0 à 100km/h, quand ses grandes sœurs Elise R et Elise SC en demandent 5,4 et 4,6 respectivement. Quant à la vitesse de pointe, elle est de 200 km/h sur la version d’accès, de 222 et 233 km/h sur les deux autres.

Nicolas Morlet

V12 GT

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