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Visuellement, la nouvelle Mercedes Classe C se reconnaît à son bouclier avant intégrant désormais une rangée de LEDs faisant office de feux de jour, à sa prise d’air «en V»,  à ses blocs optiques avant redessinés dans l’esprit de la dernière CLS et à ses feux arrières retouchés. Des évolutions qui se retrouvent également sur la variante break.

A bord, la différence la plus marquante est le nouveau tableau de bord, qui s’étire désormais jusqu’au sommet de la console centrale, où prend place l’écran du combiné d’infodivertissement. Et si Mercedes annonce aussi avoir relevé d’un cran la qualité des matériaux et leur assemblage, le plus épatant est la flopée de nouveautés technologiques dont profite désormais l’auto. Pas moins de 10 nouveaux systèmes d’aide à la conduite font en effet leur apparition :  assistant de feux de route, avertisseur de franchissement de ligne actif, avertisseur d'angle mort actif, système de détection de somnolence, système de détection de l’attention du conducteur, régulateur de vitesse intelligent, rappel de limitation de vitesse, système d’aide au stationnement Parktronic,  frein Pre-Safe, avertisseur de franchissement de ligne et avertisseur d’angle mort. Plutôt pas mal non ?

En attendant l’arrivée de la version restylée de la Mercedes C63 AMG qui  ne devrait rien perdre de sa superbe, c’est le V6 3.5l de 306 chevaux de la C350 BlueEfficiency qui fait figure de «top of the range». Un moteur qui, s’il expédie toujours les occupants de l’auto à 100km/h en 6 secondes, réduit de près d’un tiers sa consommation, désormais établie à 6,8l/100km (159gr/km CO2) pour la berline et 7l/100km pour le break. Une version également proposée avec la transmission intégrale 4Matic.

La nouvelle Mercedes Classe C sera présentée en Première Mondiale au Salon de Detroit, qui ouvrira ses portes le 10 janvier prochain, avant d’être commercialisée chez nous au printemps.

Nicolas Morlet

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