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Comme annoncé dans notre précédent billet, tout la partie avant est transformée, avec l’apparition de nouvelles optiques qui semblent puiser leur inspiration dans ceux des SUV GL et GLK, une calandre à trois lamelles, marque de fabrique des dernières créations «dynamiques» de la marque et un bouclier intégrant une double optique ronde à chacune de ses extrémités ainsi que la désormais inénarrable rangée de LED faisant office de feux de jour.
Grâce à des blocs optiques redessinés, scindés en deux horizontalement par un encart argenté, et au bouclier inédit, la partie arrière de l’auto reflète une impression de légèreté très nette par rapport à l’ancienne version. Une nouvelle teinte de carrosserie, Diamond White, et trois nouveaux dessins de jantes viennent compléter l’attirail des changements cosmétiques.

A bord, il est désormais possible d’opter pour un habillage bi-ton beige/marron ou gris/noir, ainsi que pour des sièges avant chauffants et rafraichissants. Livré en version cinq places de manière standard, le Classe R peut également être commandé en configuration 4,6 ou 7. Les deux longueurs d’empattement sont reconduites, permettant, en version longue, de bénéficier d’un volume de chargement pouvant atteindre les 2.385 litres.

Côté motorisation, il faudra se contenter du V6 3.5l de 272 chevaux à transmission intégrale du R350 4Matic en version courte, tandis que la version longue est, elle, toujours livrable en version R500 4Matic, animée par le musculeux V8 5.5l de 388 chevaux combiné, lui aussi, à la transmission aux quatre roues. Dans cette dernière configuration, 6,3 secondes suffisent à faire passer l’auto de 0 à 100km/h !

Nicolas Morlet

V12-GT

L’émotion automobile.