Le partenariat franco-allemand évoqué ici même récemment se confirme.
Les groupes Daimler et Renault sont en discussion depuis quelques temps, Daimler cherchant depuis la (més)alliance avec Mitsubishi un partenaire de remplacement, ne pouvant rentabiliser ses modèles compacts A et B sans coopération industrielle avec un généraliste.
Renault, quand à lui, n’a jamais réussi à percer dans le haut de gamme depuis la 40 HP, comme en témoigne l’échec cuisant de la VelSatis.
Mais sans doute échaudé par l’aventure Chrysler, Daimler n’entend pas prendre le contrôle de Renault, et se contenterai pour le moment de simples participations croisées, de l’ordre de 3%, au delà des synergies industrielles.
A suivre de près.
Charles Le Menestrel
V12 GT
L’émotion automobile
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