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A l’instar du coupé, cette version V8 du cabriolet se distingue de sa bourgeoise grande sœur W12, qui reste bien évidemment au catalogue,  par quelques retouches esthétiques.

A l’avant, cela se traduit par un bouclier en trois parties surmonté d’une calandre en chrome noir tandis qu’à l’arrière, ce sont les embouts d’échappement en forme de «8» couché qui affirment la différence.

Ceux qui prêtent attention aux détails pointeront également les «Flying B» rouges ou les jantes de 20 pouces spécifiques.

Le nouveau moteur est le V8 4.0 litres de dernière génération étrenné par les cousines Audi S6/S7/S8 qui offre cette particularité de pouvoir fonctionner sur quatre cylindres seulement lorsque les conditions sont favorables de manière à réduire sensiblement la consommation de Super sans-plomb : 10,9l/100km en cycle mixte ! De quoi prétendre à une autonomie théorique de…826 kilomètres !

En activité normale, le moteur ne délivre pas moins de 507 chevaux à 6.000tr/min pour un couple de 660Nm accessible dès 1.700tr/min. Des valeurs transmises à la route via les quatre roues par l’intermédiaire d’une boîte automatique dernier cri à huit rapports, qui permettent d’emmener les 2.470 kilos de l’auto à 100km/h en tout juste 5 secondes, et de pointer à 301km/h.

Les Bentley Continental GT V8 et GTC V8 sont disponibles dès ce mois de janvier aux prix respectifs de 136.000 euros et 149.600 euros (hors taxe, cela s’entend), soit 15.000 euros environ sous le tarif pratiqué par la version W12.

Nicolas Morlet

V12-GT

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