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La Phaeton adopte donc désormais le faciès caractéristique des autres modèles de la gamme, avec ce large bandeau optique composé de feux horizontaux étirés (intégrant les indispensables feux de jour à LED) qui encadrent une calandre à lamelles, intégralement chromée dans le cas présent. Les boucliers avant et arrière intègrent désormais un épais jonc chromé tandis que les feux arrière reçoivent un nouvel aménagement interne et adoptent la technologie LED.

A bord, si le style ne change pas, l’équipement se fait un peu plus moderne et généreux avec l’adoption d’un nouveau système de navigation qui, tout comme celui de l’Audi A8, est capable de fonctionner avec Google Earth grâce à sa fonction Internet. Cela permet, entre autre, d’afficher les points d’intérêt dans les environs immédiats de l’auto et d’avoir accès à une foule de renseignements concernant les lieux visités ou traversés.

La Phaeton est également équipée des dernières innovations en matière de sécurité active comme l’éclairage directionnel adaptatif (appelé Dynamic Light Assist), qui fonctionne grâce à une caméra intégrée qui lui permet également de reconnaitre les panneaux d’interdiction de dépasser, le régulateur de vitesse automatique avec fonction de prévention des chocs frontaux ou encore le Side Assist, surveillant les angles morts de la voiture afin de prévenir le conducteur de la présence d’une voiture.

Sous le capot, les motorisations n’évoluent pas, et la Phaeton reste livrable avec le V8 4.2l de 335 chevaux et, surtout, le 6.0l W12, toujours dans son «ancienne déclinaison» de 450 chevaux. Sa cousine l’Audi A8, dotée de la nouvelle itération de ce moteur, en revendique 50 de plus.
Ces deux versions sont d’emblée couplées à la transmission intégrale 4Motion et uniquement disponibles sur la mouture à empattement long, d’une longueur totale de 5,17 mètres.

Nicolas Morlet

V12-GT

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