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Essai Mercedes CLS 500

Cure de stéroïdes

L’initiatrice du « coupé 5 portes » fait peau neuve. La ligne perd en sveltesse ce qu’elle  gagne en muscles. Voyons comment se déhanche ce carrosse sur une spéciale des Mille Miglia…

Mercedes CLS 500 blanc 3/4 avant gauche travelling Mercedes CLS 500 blanc 3/4 arrière gauche travelling Mercedes CLS 500 blanc 3/4 avant gauche penché Mercedes CLS 500 blanc 3/4 arrière droit filé Mercedes CLS 500 blanc 3/4 avant gauche Mercedes CLS 500 blanc profil Mercedes CLS 500 blanc logo coffre Mercedes CLS 500 blanc jante Mercedes CLS 500 blanc phare avant Mercedes CLS 500 blanc intérieur debout Mercedes CLS 500 blanc intérieur debout 2 Mercedes CLS 500 blanc moteur
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La première CLS a débarqué fin 2004. Elle lançait le concept de la « berline-coupé » ou du « coupé 5 portes ». Elle créait une nouvelle niche, que d’autres ont depuis investie. Six ans plus tard, le modèle fait peau neuve, après avoir séduit 170.000 âmes à travers le monde. Et si l’on en croit le constructeur, toutes ont un point commun : elles ont craqué avant tout pour la ligne de l’engin. Une silhouette fine et pure, intemporelle, diront certains. Mais les designers doivent bien justifier leur salaire…

La nouvelle CLS est donc passée sur le billard. Elle a été liftée de partout : calandre proéminente gonflée façon collagène, nouveau regard « botoxé » (et illuminé par 71 diodes LED !) et sévère musculation du fessier. Pour certains, la belle vire dans le superficiel. Pour d’autres, elle attise davantage les sens. Quoi qu’il en soit, le modèle conserve une réelle personnalité esthétique.



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