Une Mercedes SLR, une Aston Martin Vanquish ou autre Maybach 62, c’est bien. Mais pour aller chercher les croissants à la boulangerie le matin ou se parquer pour une après-midi de flânerie sur les Champs-Elysées, il y a mieux. La solution ? Opter pour une citadine ultra-compacte mais faisant preuve de caractère et d’un certain dynamisme comme seconde ou troisième voiture. Et pour ce faire, c’est dans les catalogues Smart ou Toyota qu’il faut chercher.
Si la Smart Fortwo a longtemps été la seule sur ce créneau de marché, elle a été rejointe l’an dernier par une petite japonaise aux dents longues : la Toyota iQ. Même cible, les citadins à la recherche d’une voiture pratique et efficace, même positionnement, branchée et tendance, et même attributs, compacité et dynamisme, que sa rivale, tout en offrant d’ingénieuses innovations en matière de modularité, l’iQ est-elle réellement en mesure d’inquiéter la puce germanique ?
La réponse parait évidente dans les finitions inférieures, mais dans le cas présent, ce sont les versions les plus musclées de chacune de nos deux concurrentes qui ont été retenues.
A ma gauche, on retrouve donc la championne en titre, la Smart Fortwo, dans sa version «top of the range» Brabus Xclusive forte de 98 chevaux, transmis via une boîte de vitesses séquentielle à cinq rapports. A ma droite, sa challenger, la Toyota iQ dans sa version 1.33 VVT-i de 101 chevaux couplés à une boîte automatique à variation continue (CVT).
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