Pour ma part, mon choix de base en matière de réglages serait : direction et accélérateur en Sport+, boîte en position intermédiaire et suspension en Sport.

Avec anti-patinage déconnecté, histoire d’éviter les trop nombreuses coupures survenant à l’accélération lorsque le sol n’est pas parfaitement adhérent.

Ainsi configurée, la M5 nouvelle génération se révèle plus efficace que l’ancienne, tout en étant aussi beaucoup plus confortable et facilement utilisable au quotidien.

En conduite très sportive, son poids se ressent très peu et elle accepte d’être «placée» au freinage ou au lever de pied. Ensuite, la manière dont vous sortez du virage dépend de votre humeur du moment. Envie d’efficacité ? Le différentiel autobloquant pouvant varier de 0 à 100% vous aide à vous en extraire avec efficacité.

Envie de «fun» ? Le même «diff» vous permet de «faire le show» sur une centaine de mètre, dans un travers prolongé à l’envi. Un beau jouet, progressif, efficace et diablement amusant à la fois !

La boîte 7 vitesses à double embrayage participe bien sûr à la «joie» ressentie en pilotant l’engin. Elle n’est pas aussi «lisse» qu’une PDK de Porsche mais ce n’est pas un reproche : au moins, avec elle, on sent qu’on change de vitesse !

Une grande leçon d’automobile offerte par les ingénieurs de BMW !

Stéphane Lémeret

V12 GT

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