En attendant l’arrivée de la «grosse» McLaren P1, la «petite» MP4-12C se décline désormais en version Spider. Premier essai.
Comme le coupé sorti en 2011, le Spider McLaren est construit autour d'une cellule en carbone appelée "Monocell" par le constructeur britannique.
A cette structure légère (moins de 100 kilos !) et super résistante, s'ajoutent des éléments à l'avant et à l'arrière, la plupart du temps en aluminium, notamment le berceau moteur.
La carrosserie est également atypique puisque, outre le carbone, ce sont des matériaux composites qui dominent.
Et partout la même obsession : le gain de poids ! La version Spider est équipée d'un toit amovible "en dur" ?
Oui, mais les ingénieurs ont réussi à alléger au maximum le mécanisme qui l'actionne (17 secondes pour l'ouverture/fermeture, même en roulant à 30 km/h maxi).
Résultat, avec une petite quarantaine de kilos de plus que le coupé, le Spider ne doit théoriquement rien perdre en termes de performances ou d'efficacité, ou si peu...
Les portes s'ouvrent toujours en élytre pour en faciliter l'accès mais il faut toujours une certaine souplesse pour prendre place et surtout sortir des jolis baquets ! Au volant, l'ambiance "course" est omniprésente, tout comme le carbone qui constitue l'ADN de cette supercar.
Mais il est temps de presser le bouton «Start» pour entendre le bouillant V8 bi-turbo situé juste derrière les sièges !
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