Mercedes retouche avec finesse son « coupé Classe S ». Les versions AMG sont peaufinées. Reste à trancher entre la 63 et la 65. Tentative de verdict dans l’arrière-pays niçois.
Cannes, promenade des Anglais. L’heure de pointe a sonné, avec son flot de poings levés, ses queues de poisson et ses éclats de klaxons. A bord des coupés CL AMG, cette agitation semble lointaine. Le vitrage acoustique isole des nuisances extérieures, le moteur est discret (63 AMG), voire inaudible (65 AMG), l’amortissement semble survoler les dégradations du revêtement et les sièges multicontours nous massent délicatement le dos. Le mélange de cuir et de bois ajoute une note prestigieuse à cette ambiance apaisante.
Côté style, on adore ou on déteste. Ce coupé massif engendre des avis tranchés, même paré de ses nouveaux atours : bouclier avant redessiné, calandre plus ajourée et feux de jour à diodes. Les autres modifications, plus profondes, touchent l’équipement et les moteurs, notamment ceux des versions AMG, sur lesquelles nous nous sommes penchés.
A voir également