Rolls Royce Wraith cabriolet
Bientôt sous les étoiles
Les premières livraisons de l’extravagant Wraith Coupé auront lieu en Décembre, du moins pour ceux qui ont eu la présence d’esprit de passer leur commande en début d’année. Rolls Royce développe déjà sa variante convertible.
Positionnée comme une alternative plus sportive à la Phantom DHC, la future Wraith cabriolet reprendra une bonne partie de la carrosserie du coupé.
Elle en conservera le vitrage latéral, donnant ainsi à la capote fermée une allure plongeante et dynamique, contrairement au toit formel de la Phantom DHC.
Le Cabriolet, ou DHC (Drop Head Coupe) empruntera par contre à sa grande sœur le toit souple à commande electro-hydraulique.
Elaboré à la main en mohair, doublé de tissu de laine, son insonorisation est digne des berlines de la firme, grâce à plusieurs couches superposées de matériaux isolants.
Les passagers profiteront de l’habitacle du Coupé, dont le style contratse avec celui des autres modèles de goodwood, en particulier au niveau des boiseries étendues sur les contreportes, et de la sellerie au nouveau dessin plus sobre, mais aussi du ciel de toit aux étoiles en fibre optique, puisqu’il suffira d’actionner un bouton sur la console pour contempler la Grande Ourse sur 360 degrés !
La salle des machines abritera le V12 6.6l du Coupé, qui délivre quelque 633 chevaux et 800Nm. Il serra couplé à la nouvelle boîte automatique à huit rapports, qui est associée au GPS du tableau de bord, de manière à optimiser les changements de rapports en fonction du tracé de la route empruntée, de sa déclivité ou d’autres facteurs.
Les performances seront donc « stupendous », les 100 km/h étant atteints en 4.4 secondes ! La tenue de route profitera de l’empattement court et des voies élargies du coupé, lui assurant un comportement plus incisif que les autres modèles de la marque.
Tout ceci dans l’optique de rajeunir la clientèle de la marque, en particulier aux Etats-Unis, où une clientèle féminine pourrait être séduite par la (relative…) compacité du modèle, moins intimidante d’aspect et en manœuvres que la Phantom DHC.
Les amateurs européens seront peut-être séduits par son aspect plus discret, plus apte à se fondre dans la masse (sans jeu de mot), en cette période de vaches maigres…
Présentation au public en 2015.
Charles Paxson
V12 GT
L’émotion automobile
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