Page 2 / 4
Réglable

McLaren MP4-12C bordeaux vue du tableau de bord

Accéder à l’habitacle n’est pas évident car la coque en carbone est très large à hauteur des portes.

Sûr que la moquette recouvrant le châssis va très vite s’abîmer si on ne prend pas garde à ne pas l’user en l’enjambant !

Fermer les portes en élytre n’est pas non plus une sinécure : il faut parfois s’y reprendre à cinq fois. Selon McLaren c’est parce que les véhicules d’essais étaient trop neufs. A vérifier.

Une fois à bord, je n’essayerai même pas de jouer avec la radio et le GPS car l’ergonomie de ces accessoires, regroupés sur un seul petit écran et commandés par les mêmes boutons, me semble vraiment très compliquée. McLaren a voulu un intérieur épuré, avec un minimum de fioritures et de boutons. Une erreur pratique selon moi mais ce n’est pas le plus important sur une telle sportive !

Ce qui m’intéresse bien plus, ce sont les commandes permettant de régler la voiture selon l’humeur du moment. Ces boutons situés sur la console centrale et comptant chacun trois positions (Normal, Sport et Track) sont au nombre de deux : H (pour Handling ou «tenue de route») et P (Power). Du premier dépend la dureté de la suspension et le style d’intervention de l’ESP, tandis que le second permet de régler la puissance disponible, la réponse de l’accélérateur et, surtout, le son du moteur.

Puisque nous sommes sur le petit circuit de Dunsfold, tout près de l’usine, les deux boutons sont sur «Track», la position qui offre le plus d’efficacité sportive…