Laissons-nous glisser dans les sièges matelassés. Notre modèle d’essai disposait d’éléments « multicontours », qui épousent la forme du corps, vous massent le dos et compensent le roulis en virage, grâce à des impulsions au niveau des lombaires.
Un petit vent chaud peut aussi s’échapper de l’appuie-tête en conduite au grand air (Airscarf). Si le temps se gâte, le toit se relève en 20 s. Et en guise de pavillon, le client a désormais le choix entre un élément opaque, une pièce en verre classique ou le fameux Magic Sky Control.
Ce toit en verre transparent s'éclaircit ou s'obscurcit sur la simple pression d’une touche, sur base du principe physique des condensateurs à lames : lorsqu'une tension électrique est appliquée au verre, ses particules s'orientent de manière à laisser passer la lumière.
En l'absence d'impulsion électrique, la lumière est presque entièrement bloquée. Ça en jette, mais c’est plutôt gadget…
Les mélomanes apprécieront le système Front Bass, qui utilise l’espace libre des structures creuses de la carrosserie comme caisse de résonance pour le système audio, ce qui fait ressortir les graves. Les branchés, eux, apprécieront de pouvoir surfer sur la toile derrière leur volant.
Mercedes propose même une application permettant de suivre les cours de la bourse…
Plus terre à terre, le système Hands-Free Access permet d’ouvrir (et de refermer) le coffre d’un simple battement de pied sous le bouclier. Plus besoin de déposer ses paquets pour ouvrir la soute.
Somptueusement équipée (à condition de faire un détour par le bottin d’options), la nouvelle SL est donc une véritable caverne d’Ali Baba, qui recèle une multitude d’accessoires raffinés.