Basée sur la plateforme de la nouvelle série 5, une tradition chez BMW depuis la 633 CSI de 1976, elle conservera l’essentiel des motorisations actuelles, du 6 cylindres en ligne bi turbo aux V8.

Quand à la M6, sont V10 se verrait remplacé par un moteur dérivé du V8 de la M3 actuelle, suralimenté par 2 turbos compresseurs, afin d’accroître la puissance tout en réduisant les émissions. Toute la gamme recevra par ailleurs la panoplie complète « Efficient Dynamics », dont le système « Stop Start ». La nouvelle boîte automatique ZF à 8 rapports fera son apparition, au bénéfice des accélérations et des émissions.

La carrosserie fera appel à des matériaux allégés couteux, dont l’aluminium et les composites, en plus d’aciers à haute résistance, afin d’accroître encore la rigidité de la version cabriolet, tout en réduisant le poids. La mévente relative du modèle sortant laisse présager des lignes moins agressives, à l’image de la nouvelle 7, moins provocatrice que sa devancière. Les lignes seraient plus légères et tendues à la fois, l'arrière perdrait sa malle de coffre enveloppante.

Le tableau de bord ne présentera plus son excroissance centrale disgracieuse et la qualité des matériaux sera revue à la hausse. L’équipement sera remis au goût du jour, mais les options resteront nombreuses. Nous ne pouvons qu’espérer qu’un autobloquant sera disponible sur toute la gamme, ainsi qu’un freinage à la hauteur des performances.

Charles Paxson

V12 GT