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On découvre notamment l’habitacle de cet héritier des 550 Spyder et RS Spyder. La principale différence avec sa génitrice, la Boxster, réside dans l’adoption d’une instrumentation, toujours faite de trois cadrans ronds, mais dépourvue de casquette. Un détail pour certains sans doute, mais qui vient conférer une petite touche plus rétro, plus exclusive à l’auto.

L’habitacle se fait également plus joyeux, avec l’apparition d’inserts de la couleur de la carrosserie, sur le meuble central, les bordures de surtapis ou le long du tableau de bord. Bien entendu, l’indispensable chronographe trône toujours au sommet de la console centrale.
Les poignées de portes sont ici remplacées par des rubans de couleur rouge, assortis aux ceintures de sécurité.
Enfin, dès l’ouverture de la portière, le roadster Porsche rappelle son exclusivité grâce à l’inscription «Boxster Spyder» qui orne les seuils de portes.

La capote, moins évoluée que sur un Boxster classique semble plus adaptée au soleil de la Californie qu’à l’hiver dans le Nord, mais a certainement largement contribué à l’allègement de 70 kilos dont à bénéficié l’auto. Un détail que nous ne manquerons pas de vérifier lors d’un de nos prochains essais.

Rendez-vous le 04 décembre prochain pour le découvrir «en live», lors de l’ouverture des portes du Los Angeles Auto Show. En attendant, vous pouvez d’ores et déjà vous le configurer à votre image grâce au configurateur en ligne sur le site officiel Porsche, qui permet notamment d’apprécier les huit teintes proposées.

Nicolas Morlet

V12 GT