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Essai Alfa Romeo 4C

Just drive !

«Tais-toi et roule !» : telle pourrait être la traduction du slogan d’Alfa Romeo pour la 4C, «Just drive». Un peu gênant quand même dans notre cas puisque nous sommes là pour vous faire partager nos impressions de conduite au volant du dernier petit bolide de la firme italienne !

Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant droit filé Alfa Romeo 4C rouge 3/4 arrière droit filé Alfa Romeo 4C rouge face avant 3 Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant droit 2 Alfa Romeo 4C rouge face avant 2 Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant droit filé 2 Alfa Romeo 4C rouge face avant travelling Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant gauche Alfa Romeo 4C rouge tableau de bord Alfa Romeo 4C rouge DNA Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant droit 5 Alfa Romeo 4C rouge 3/4 arrière gauche Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant droit 4 Alfa Romeo 4C rouge filé Alfa Romeo 4C rouge face avant Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant droit Alfa Romeo 4C rouge 3/4 avant droit travelling Alfa Romeo 4C rouge 3/4 arrière gauche travelling
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C’est sur le circuit historique de la marque et dans ses environs, à Balocco, qu’Alfa nous a conviés à découvrir sa 4C. En me glissant dans l’habitacle pour la première fois - à la «place du mort» pour commencer -, j’ai été surpris de me retrouver dans un environnement aussi spartiate, comparable à celui d’une Lotus Elise ! Les Italiens ont tellement combattu le poids que le dossier du baquet de droite n’est pas réglable en inclinaison. Conjuguée à l’imposant meuble de bord dans lequel les genoux du passager viennent cogner lorsqu’il n’a pas la taille jockey, cette caractéristique rend l’atmosphère un peu oppressante. On pourrait dès lors aussi interpréter le slogan d’Alfa comme suit : «Conduis et, surtout, ne sois pas passager» ! Un bon conseil en effet car l’absence de réelle poignée de maintien et le siège n’offrant pas suffisamment de soutien latéral rendent les kilomètres un peu longs lorsqu’on n’est pas du bon côté !

Accéder à la place du conducteur réclame également un peu de souplesse. Il faut en effet passer au-dessus du large ponton latéral de la coque en carbone. C’est bien sûr grâce à cette technologie que le poids a pu être maintenu sous les 900 kilos. L’ambiance à bord est donc très «course», avec peu de concessions au confort ou au décorum. Heureusement, on peut quand même bénéficier d’une radio-GPS et de l’air conditionné (en option gratuite).

Le conducteur n’est toutefois pas à plaindre puisqu’il trouve facilement une bonne position grâce aux réglages en hauteur et en profondeur de la colonne de direction. De même, le siège est assez bien dessiné, permettant de compenser en partie la dureté des suspensions. Pas de direction assistée en revanche : il faut se réhabituer à utiliser la force de ses bras pour tourner le volant !



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