Une fois au volant, l’atmosphère n’est pas stressante pour un sou.
Rares sont les voitures de course à offrir une telle ergonomie.
D’ailleurs, AMG ne s’est pas trop pris la tête et a gardé pas mal d’éléments de la voiture de route. Y compris le gros commodo des essuie-glace et certains boutons, comme celui de la climatisation!
La SLS GT3 peut en effet bénéficier de cette option mais ce n’est franchement pas utile car son habitacle est particulièrement bien ventilé.
La position de conduite, bien que très basse, est idéale grâce au volant et au… pédalier réglables en profondeur. Le pilote peut en effet éloigner ou approcher les pédales en fonction de sa taille : pratique et bien utile sur une course d’endurance, lorsque les différents pilotes n’affichent pas les même mensurations.
Pas mal de commandes essentielles, comme celles de la radio, des appels de phares ou de la boisson sont regroupées sur le volant, de forme quasi rectangulaire. Ces volants de moins en moins ronds deviennent une habitude en GT mais personnellement je ne suis pas pour. OK en monoplace, où on ne doit jamais bouger les mains grâce à une démultiplication très directe mais en GT, il peut encore arriver de devoir attraper le volant ailleurs qu’à «9h15» lorsqu’on doit contrebraquer. Et dans ce cas, un rectangle est moins pratique qu’un «cerceau» !